Francophonie : ce n’est pas la fête pour tout le monde
LEUR SOCIÉTÉ
Le 21 juillet, jour de lancement des huitièmes jeux de la francophonie, l’État a sorti le grand jeu. Des cars de transport à la mairie d’Abobo pour transporter gratuitement ceux qui voulaient y assister. Mais les populations prises dans leurs difficultés quotidiennes, semblaient ignorer ces cars.
C’est dire que chacun a sa préoccupation. Si les gens d’en haut ont le cœur à la fête, ceux d’en bas sont en proie à des nécessités plus pressantes.